Alcool et santé

L’UGVC va dans le sens des recommandations des autorités de santé : lors de la grossesse, c’est l’abstinence de consommation d’alcool qui est de mise. Ce message nécessite des campagnes de prévention et d’éducation ambitieuses et de conseils fournis par les médecins ; il ne doit pas passer par l’étiquetage. L’étiquette doit rester un outil de marketing à l’usage des producteurs et ne doit pas devenir un vadémécum sanitaire.

• 2019 : opposition de l’UGVC à l’agrandissement du logo femmes enceintes.

Le terrain de la publicité pour les alcools est un lieu de conflit sans fin. Les équilibres obtenus dans la loi Evin permettent un bon compromis entre protection des consommateurs et développement économique des exploitants. L’UGVC est favorable au maintien de ce statu quo.

• 2017 : la CNAOC, dont l’UGVC est membre, soutient l’assouplissement de la loi Evin pour la promotion de l’œnotourisme.

La consommation responsable est la clef de la cohabitation entre intérêts des producteurs et protection de la santé des consommateurs. L’éducation à une consommation modérée et la prévention sur les risques ont aujourd’hui beaucoup plus de résultats positifs que la sanction.
L’UGVC s’oppose à toute évolution de la taxation sur les alcools (taxation au degré, prix minimum…) dans le but de faire diminuer la consommation d’alcool, ces stratégies ayant été des échecs dans les pays où elles ont été mises en place.

• 2019 : mise à disposition des outils Vin & Société.